Chaque cellule de notre corps vibre et rayonne à une fréquence donnée. Quand notre propre organisme rayonne harmonieusement, à sa fréquence optimale, nous sommes en équilibre. Récemment, une équipe de chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology) a mesuré la fréquence à laquelle les globules rouges vibrent et ils ont montré que cette fréquence reflète fidèlement l'état de santé de ces cellules.
Dans les années 60, un médecin Suisse, le Dr. Hans Jenny, a réalisé l'importance de la vibration et du son et a lancé une étude sur les phénomènes vibratoires appelés "cymatiques". Quand du sable, un liquide ou une poudre sont placés sur une plaque métallique qui vibre sous l'influence d'un générateur émettant une fréquence particulière, des motifs complexes, uniques pour chaque matériau, apparaissent. L'expérience a montré que le son peut non seulement modifier la forme selon les changements de fréquence, mais aussi que le son crée et maintient la forme. Il a nommé "harmonic principle" ces formes inhérentes à la vibration.
Ralph Vaughan Williams, “Phantasy Quartet” made visible on the CymaScope
Les travaux du chercheur japonais le Dr. Masaru Emoto démontrent les effets puissants du son sur des cristaux d'eau. Il a diffusé, par haut-parleurs, de la musique classique et du folklore traditionnel à proximité de différents échantillons d'eau. Il les a alors congelés et a photographié les structures cristallines ainsi obtenues. Il a observé que chaque échantillon d'eau formait un cristal différent, d'une beauté étonnamment géométrique. Au contraire, avec de la musique "heavy metal", la structure hexagonale de base du cristal d'eau était cassée en morceaux. Nos corps étant composés à 70 % d'eau, on peut imaginer comment les sons et les vibrations de notre environnement peuvent affecter nos fonctions cellulaires internes, et avec le temps, notre santé.